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Un sergent arrêté après avoir tiré sur cinq soldats à la base de Fort Stewart : Des motivations obscures et des questions de sécurité

La vaste base militaire de Fort Stewart, en Géorgie, a été secouée par une fusillade tragique mercredi, lorsqu'un sergent de l'armée américaine en service a été arrêté pour avoir ouvert le feu sur cinq de ses collègues, les blessant. Le suspect, le sergent Cornelius Samentrio Radford, 28 ans, a été rapidement maîtrisé par d'autres soldats, empêchant d'autres blessures, selon les déclarations du brigadier-général John Lubas. Bien que l'état des cinq soldats blessés soit stable, les motivations derrière cet acte choquant restent floues, soulevant de nombreuses questions sur les causes de l'incident et la sécurité de la base.






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Des motivations contradictoires et les détails de l'incident


Selon un responsable de l'application des lois familier avec l'affaire, les informations initiales suggèrent que l'incident pourrait découler d'un conflit personnel. Le responsable a indiqué que Radford avait eu une altercation avec l'une des victimes le mardi, l'avait ensuite suivie dans une zone de maintenance et lui avait tiré dessus à la poitrine avant de faire feu sur quatre autres soldats. La nature exacte de cette dispute n'a toutefois pas été précisée.

Par ailleurs, le père du suspect, Eddie Radford, a déclaré au New York Times que son fils n'avait pas montré de comportement inhabituel récemment, mais qu'il s'était plaint à sa famille d'avoir subi du racisme à Fort Stewart et qu'il cherchait à être transféré. Ce récit ajoute une nouvelle dimension à l'incident, bien qu'il n'ait pas encore été confirmé par les autorités militaires.


Antécédents et histoire du suspect non signalés


Les dossiers de l'armée américaine indiquent que le sergent Radford, originaire de Jacksonville, en Floride, a rejoint l'armée en 2018 en tant que spécialiste de la logistique automatisée. Il a été affecté à la 2e brigade de combat, n'a jamais servi en zone de combat et n'avait aucun incident de comportement connu dans son dossier militaire.

Cependant, le général Lubas a révélé un antécédent judiciaire dont la hiérarchie de Radford n'était pas au courant : une arrestation en mai pour conduite en état d'ébriété (DUI). Radford avait été libéré sous caution pour cette affaire et devait comparaître devant le tribunal le 20 août. Cette découverte soulève des questions sur l'efficacité des systèmes de suivi internes de l'armée.


Comment l'arme a-t-elle pu entrer dans la base ?


Les autorités ont confirmé que Radford a utilisé une arme de poing personnelle, un pistolet Glock de calibre 9 mm, et non une arme militaire, lors de l'attaque. Il l'avait achetée en Floride en mai dernier. La question la plus pressante pour les enquêteurs est de savoir comment Radford a pu introduire cette arme dans une base pourtant soumise à des mesures de sécurité strictes, les règlements militaires interdisant généralement le port d'armes à feu personnelles. Le général Lubas a confirmé qu'une enquête était en cours pour déterminer la faille de sécurité qui a permis à cet incident de se produire.

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